Cet environnement active des dysfonctionnements au contact des pollutions, le plus souvent par expositions répétées et cumulatives : stress chronique que nous produisons en nous, ondes électromagnétiques que nous subissons, substances chimiques que nous respirons et avalons…
L’environnement est aussi rempli d’informations perçues par notre cerveau via nos cinq sens que sont la vue, le toucher, l’odorat, l’ouïe et le goût. Ce sont des capteurs d’harmonie, de beauté, créateurs de pensées positives qui libèrent le potentiel de croissance de la santé ou au contraire, traduit par notre cerveau comme danger, qui alors inhibent et bloquent la croissance de la santé, créateur de pensées négatives, et souvent réactivent des croyances négatives. Mais à la base de chaque sens, nous revenons invariablement à l’échelle de la cellule… Tout en nous est constitué de cellules.
Pour aller plus loin, je vous suggère de lire l’article de Clémence Peix Lavallée scientifique et sophrologue, sur le thème « Comment agir sur ses cellules pour rester en santé? ».
Mais revenons à mon propos. Voici donc ce texte de Jorge Oyhanarte, très « sophrologique », traduit par mes soins et qui je l’espère, vous fera passer un doux moment avec vous-même…
Ce texte que je modifie légèrement pour les besoins des séances, fait partie des visualisations positives que je propose aux patients qui me consultent pendant ou après une maladie.

Sophrologue, Formatrice en Entreprise.
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